La
signora Kolinda Grabar-Kitarović, Presidente della Repubblica di
Croazia, giovedì 28 Maggio 2015, è stata ricevuta in udienza da
Papa Francesco nel Palazzo Apostolico del Vaticano. La radio Vaticana
ha divulgato un comunicato sui contenuti del colloquio che ha
riguardato particolarmente le problematiche dei giovani e
dell'economia. La visita a Roma della Presidente della Croazia era
stata già annunciata nel Marzo scorso ed è stata preceduta da
alcuni incontri con il Nunzio Apostolico a Zagabria. Il 20 Maggio
scorso la Signora Kolinda Grabar-Kitarović è stata in visita alla
Nunziatura, ed ha avuto occasione di discutere con S. E.
l'Arcivescovo Alessandro D'Errico della sua visita a Roma.
I
media in Croazia, nei giorni precedenti l'incontro con il Papa, hanno
fatto conoscere l'agenda romana della Presidente che si è svolta in
due giorni e con attività di carattere culturale che l'hanno vista
in visita al
Pontificio Collegio Croato di San Girolamo e alla Pontificia
Università Antonianum, dove ha tenuto una lezione sul tema “Le
donne in politica, sfide nel mondo globalizzato”. I commenti hanno
dato anche risalto alla visita che Papa Francesco farà il 21 Giugno
prossimo a Sarajevo, e non sono mancati excursus storici e
contemporanei riguardanti i rapporti tra la Croazia e la Santa Sede
ed i riferimenti all'opera diplomatica di Mons. D'Errico.
Riporto
per intero il comunicato divulgato dal portale della Radio Vaticana,
e segnalo i link di alcuni media croati che hanno descritto la visita
della Signora Kolinda Grabar-Kitarović
a Roma.
Papa
Francesco ha ricevuto in udienza, nel Palazzo Apostolico Vaticano, la
signora Kolinda Grabar-Kitarović, presidente della Repubblica di
Croazia, che successivamente ha incontrato il cardinale Pietro
Parolin, segretario di Stato, accompagnato da mons. Paul Richard
Gallagher, segretario per i Rapporti con gli Stati.
“Nel
corso dei cordiali colloqui – riferisce la Sala Stampa vaticana -
si sono costatate le buone relazioni esistenti tra la Santa Sede e la
Repubblica di Croazia, ulteriormente rafforzate dagli Accordi
stipulati tra le Parti. Inoltre, sono stati affrontati temi di comune
interesse, tra i quali la collaborazione fra la Chiesa e lo Stato per
il bene comune della società croata, in particolare a sostegno della
famiglia e dei giovani. Nel prosieguo della conversazione ci si è
soffermati sulle conseguenze sociali della crisi economica mondiale,
come pure sulle principali sfide regionali, con particolare
attenzione alla situazione dei croati nella Bosnia ed Erzegovina”.
Néanmoins, à son retour, la rencontre entre Mme la dite présidente croate et du Saint-Père n'entra pas dans le rapport de Mme la Présidente sur ses premiers 100 jours à la présidentielle. Aucune mention.
RispondiEliminaPar contre, Mme a profité de cette visite pour s’imposer un peu plus, tout en présentant le Pape comme quelqu’un avec qui elle a parlé au même niveau (« nous avons discuté comme des personnes d’état », faut-il le souligner !) et avec qui elle « partage les mêmes principes » (lui, il ne se servira pas des peuples et de l’Église pour occuper son poste, mais leur servira! Ce n’est pas la même chose que la façon dont Mme la Présidente s’imposa.)
Nous apprenons également sur un site de web des « intellectuels catholiques » (ici http://www.hkv.hr/vijesti/svijet/20436-papa-franjo-primio-hrvatsku-predsjednicu-kolindu-grabar-kitarovic.html) que le Saint-Père « brise souvent le protocole ». Mme la présidente, parlait-elle de soi et comment elle a monté au pouvoir (avec ces débuts profitant de son amitié intime avec l’ex PM Ivo Sanader, jugé actuellement pour la corruption). Et tout cela sur un site « culturel » qui a mené la campagne contre le Vatican dans le cas du monastère de Dajla (où, en passant, toute voix fut censurée si on oppose les blasphèmes contre l’Église catholique de Rome, seule l’opposition de la partie politique HDZ n’est jamais tolérée, il reste encore à voir pourquoi.). Que ces politiciens ne s’occupent pas de nous, on a encore de la misère d’écarter tout le mal qu’ils ont fait.
RispondiElimina« Nous avons entendus que vous avez conquis le Pape », dit une journaliste dans la téléconférence suite à la rencontre de la dite « présidente » avec le Saint-Père.
(source : http://www.hkv.hr/vijesti/svijet/20436-papa-franjo-primio-hrvatsku-predsjednicu-kolindu-grabar-kitarovic.html consulté au 30 mai 2015)
Un commentaire humoristique disant que le Saint-Père n’est pas l’ex premier ministre qu’on le « conquière », incluant une observation que, s’il « partageait les mêmes principes (ou valeurs) » comme les politiciens de la partie politique de Mme la présidente (HDZ, « Hrvatska demokratska zajednica »), il n’aurait jamais été ni « L’Homme d’état » ni le Pape, -- disparaitra TOUT DE SUITE de ce site « culturel » qui en fait la promotion. Autant pour la « liberté de l’expression » dans le domaine croate.
Et si on parlait du conflit de l’intérêt, ou Mme ambassadrice aux États-Unis a abusé du poste croate pour se faire la carrière au NATO (comme si s’était un parapluie contre les enquêtes pour la corruption), puis se faire imposer à la Croatie. Sur quels mérites : pendant tout son mandant croate comme ambassadrice aux États-Unis, elle ne s’exposa publiquement que pour défendre contre les accusations pour la corruption d’Ivo Sanader et HDZ dans un magazine américain. Mais, si on ne s’incline pas à ceux-là, on est instamment SUPPRIMÉ.
Mille prières pour libérer le peuple croate de tels politiciens, ils ne sont pas nos dieux, notre Dieu est Jésus Christ. Leur partie politique n’est pas notre foi, notre foi est catholique.
Merci !